Action des Jeunes pour le Bien-être Social en tant qu’ONG sentinelle de Droit de l’Homme, est très préoccupée pour dénoncer les tortures et les traitements cruels, inhumains et dégradants dont est soumise la population de la Mongala sous la houlette des éléments de la Police nationale congolaise.

Les derniers en date sont ceux commis le 28 novembre 2020 dans le commissariat de la Police nationale congolaise installé à Boso-Simba dans le territoire de Bongandanga où un policier dénommé BOLENGE BOLENGE Papy a été horriblement molester par ses collègues de travail sous ordre du major MODIKA au motif qui réclamait son salaire impayé depuis sept mois. A la question de savoir sur le sort de son salaire, le major lui dira que son salaire est bouffé par le général Jean de la Croix NKIANA ; à ces mots, la victime sollicite une feuille de route auprès du major MODIKA son autorité directe pour se rendre à Lisala auprès du général afin de voir clair sur sa rémunération arriéré de sept mois. Furieux d’attendre de la bouche de la victime BOLENGE BOLENGE Papy policier de son état cette demande, le major MODIKA instruira les autres policiers y compris lui-même à le soumettre sous tabac, c’est-à-dire : coup des pieds, crosse et gifles sur tout son corps voir même ils le tira ses organes génitales après qu’ils l’aient jetés comme un chien du haut de l’escalier auquel ils se trouvaient, l’infortuné entrant directement dans l’inconscience sous le coup des tortures lui infligés par le major MODIKA ainsi les policiers de son commandement. L’infortuné sera évacué en état d’inconscience à l’hôpital général de Roby à Bosondjo où il a suivi les soins médicaux durant dix jours sous l’inconscience. Après qu’il ait revenu à la conscience le dixième jour, il sera transféré quelques jours après à l’hôpital général de Lisala pour suivre des soins médicaux appropriés au motif que, son état de santé ne faisait qu’aggraver, dans la mesure où il ne continuait qu’évacuer le sang au lieu et place des urines.

Constatant ainsi l’acte ignoble causé par l’autorité policière du lieu ainsi que ses compagnons sur la personne de BOLENGE Papy, la population de Boso-Simba s’est soulevée on se mobilisant en est seul homme pour venir saboter et saccager le commissariat dirigé par le major MODIKA le même jour du forfait. A l’heure où nous vous livrons cette information, le malheureux policier victime des tortures se trouve à l’hôpital général de référence de Lisala dans un état critique et sans assistance nécessaire.

Outre le cas ci-haut dénoncé et détaillé, un autre jeune homme âgé 22 ans a été victime des tortures lui infligées par l’Officier de police judiciaire affecté dans la police criminel connu sous le nom de LIPEKENI et cela en date du 08 décembre 2020 auquel Monsieur MOMBITO MOBONGI Elvis était sous le coup d’arrestations de deux mandants d’amener avec l’arrestation immédiate sans respect des procédures au préalable et cela pour des faits bénins.

Bref, l’OPJ LIPEKENI était mécontent lorsque le chef de parquet secondaire lui avait adressé une réquisition d’information sur un dossier qu’il gérait et dont Monsieur MOMBITO MOBONGI Elvis faisait partie du dossier, chose qui ne lui avait pas satisfait, c’est alors qu’il va arracher encore de nouveau un autre mandat d’amener sur le même dossier cette fois ci avec un nouveau plaignant pour la même cause et les mêmes qualifications ce qui va lui réjouir afin d’accomplir son sale besogne sur la personne de MOMBITO Elvis qu’il gardait rancœur en lui disant en terme clair lors de son deuxième arrestation comme suit : « okimaki ngai mbala ya liboso okei parquet, mbala oyo nazwi yo. Ce qui signifie : vous m’avez fui l’autre fois quand le dossier était allé au parquet, cette fois-ci je vous ait attrapé ». C’est de là que l’OPJ LIPEKENI va utiliser la jeep de la Police nationale congolaise pour exécuter son mandat d’une manière brutale, lui et ses compagnons policiers vont procéder au cours de la route à l’arrestation de l’infortuné MOMBITO Elvis ont lui administrant des violents coups, gifles et crosse d’arme sur tout son corps avant de le jeter dans la jeep comme une chèvre en le piétinant par les bottines pour le ramener à l’état-major de la Police, où il se retrouva en inconscience ; par ailleurs l’un de membre de la famille en voyant l’état critique de leur frère, sollicita son transfèrement à l’hôpital général auprès des autorités policières pour poursuivre les soins médicaux. A l’heure où nous vous livrons cette information, la victime reste toujours abandonner à son triste sort, c’est-à-dire, son état santé reste toujours précaire, ces biens ainsi qu’argent extorqués au moment de son arrestation par l’OPJ LIPEKENI et ses compagnons ne sont pas toujours restitués (téléphone Itel de trois sim, 300.000 FC soit 150$).

Qu’à ce jour, les auteurs et complices de ces faits des tortures sur la population tel que détailler ci-haut, ne sont pas toujours arrêtés, acheminés et présentés devant le juge afin de répondre de leurs actes conformément à la loi ;

Action des Jeunes pour le Bien-être Social s’insurge contre la présence et la circulation en homme libre de ces auteurs principaux d’infractions de haute cruauté qui sont ceux de tortures perpétrées contre la paisible population ;

Action des Jeunes pour le Bien-être Social dénonce le mauvais comportement du commissaire provincial de la Police nationale congolaise/Mongala, le général Jean de la Croix NKIANA qui consiste à couvrir et protéger les policiers auteurs des crimes graves dans la société sans aucune représailles par leur juge naturel en passant par l’Auditorat Militaire qui fournit des efforts pour leur arrestation mais cela en vain car ils sont couvert par le général. (Exemple récent d’un policier qui se trouvait sous le coup de l’infraction de dissipation des minutions de guerre en tira un coup de balle à l’aire sans motif valable à l’enceinte de prison centrale de Lisala, sur qui le général s’est opposé farouchement à son transfèrement à l’Auditorat Militaire et qu’il a finit par le relâchement pur et simple du policier l’auteur de ces forfaits).

Action des Jeunes pour le Bien-être Social sollicite l’implication et concours des autorités Politico-Administratives, Militaires et Paramilitaires qui nous lisent en ampliation de bien vouloir s’impliquer cette fois-ci à ces deux dossiers, impliquant les policiers auteurs des tortures graves sur la paisible population, qu’ils soient directement traduit devant la justice militaire et soient sévèrement puni conformément à la loi afin que ces jugement servent d’exemple pour d’autres détenteurs et dépositaires de pouvoir public qui tenteraient d’emboiter le pas à déclarer Monsieur Roger NZUMBU MOSENGE, Président National.

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