Le directeur de cabinet du Chef de l’État, Vital Kamerhe, se montre ingénieux dans sa défense face au ministère public qui représente la République.

Le président de l’Union pour la Nation Congolaise a comparu, ce Lundi, comme ses co-accusés, Jammal Sammih et Muhima dans le procès de détournement présumé des fonds alloués au programme des 100 jours initié par le président de la République.

Pour Vital Kamerhe, le procès semble être entre déséquilibré et se considère comme une victime dans un procès face à un juge et parti : « J’ai pu comprendre que je suis une victime expiatoire » . “Ma signature n’intervient en aucun dossier que vous venez de citer”.

Ce procès concerne principalement la construction des logements sociaux. La prochaine audience est prévue le 03 juin 2020.

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