Plus rien ne va entre le président de l’Assemblée nationale Christophe Mboso et Marie Ange Mushebekwa. Après son invalidation par l’Assemblée nationale pour absentéisme, le 15 juin 2022, la députée honoraire n’arrive pas à tourner la page six mois après.

Désormais, elle tire à boulets rouges et à tête découverte au président de la Chambre basse du Parlement, Christophe Mboso. Comme pour dire qu’elle veut se venger de cette déconvenue, Marie Ange Mushebekwa va même prédire la mort de Mboso pour cette année qui vient de commencer.

Christophe Mboso & Marie Ange Mushebekwa

Dans un tweet datant du 29 décembre posté sur son propre compte tweeter, Marie-Ange Mushebekwa conteste son invalidation comme députée nationale et au nom de sa foi, sans citer son nom, confesse que Christophe Mboso va trépasser en 2023.

» Il a 80 ans, j’ai 49 ans. Mais pour des raisons inavouées, il a décidé abusivement et injustement de m’arracher mon mandat. Son entourage déclare qu’il veut me voir mourir… Je confesse par la foi que cela va se retourner contre lui en 2023 au nom puissant de Jésus-Christ », a-t-elle déclaré.

Comme s’il ne suffisait pas, l’opposante au régime Tshisekedi fait une petite piqûre au speaker de l’Assemblée nationale se basant sur son âge qui devrait servir de rempart pour la jeunesse.   » A 80 ans, on est censé être déjà à la retraite. Et si par entêtement et boulimie du pouvoir, on décide de rester politiquement actif, on doit agir avec sagesse, prodiguer des bons conseils et servir d’inspiration aux plus jeunes dans l’exercice du pouvoir. Je n’ai pas peur de lui « , a-t-elle conclu.

Tout porte à croire que Marie-Ange Mushebekwa a mal digéré son invalidation et en veut farouchement à Christophe Mboso qui dirige l’Assemblée nationale depuis deux ans.

Par Gédéon Ngango

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