Les faits se sont déroulés en date du 15 juillet dernier où la nommée Monica Mulenga est décédée des suites de très bons rapports sexuels avec un prêtre de sa paroisse. Pour s’en convaincre, c’est à l’hôpital que le médecin légiste va révéler le décès, puisque le prêtre pensait que la médecine pouvait lui redonner la vie.

Le jeudi après-midi, elle convainc son mari de lui permettre de se rendre à des funérailles avec son association de ligue des femmes catholiques. Le mari cocu, ne songeait pas bien faire et lui donne son feu vert.

Elle se vêtit dans ses plus beaux habits et prend le chemin des funérailles. Son mari, l’accompagne prendre le taxi. Il lui dit au revoir par la main et le chauffeur file devant lui. Monica n’est pas allée aux funérailles et prend le chemin de la paroisse où réside son amant de prêtre qui l’attendait. Pour ceux qui ont connu Monica, ils disent qu’elle était d’une rare beauté et bien en chair.

Elle va se retrouver dans la chambre du père Abel Mwelwa. Les deux s’enferment et passent à l’acte. Pour un ministre de dieu, un prêtre, comment a-t-il pu faire ses escapades qui vont envoyer la femme à la mort et ensuite au paradis ?

Le site afrikbuzz qui révèle le fait divers, ira jusqu’à se poser des questions sur comment cela s’est passé et quelle serait la force déployée dans ces rapports pour que Monica rende l’âme.

La communauté catholique ne s’en revient pas et le bruit fait le tour de la ville. Le prêtre court se rendre chez son supérieur hiérarchique pour se protéger.
Le mari de Monica n’en croit pas ses yeux. Comment sa femme qui lui a demandé la permission de se rendre à des funérailles avec les femmes catholiques, meurt entre les jambes de leur prêtre qu’il connait si bien?

Faut-il étouffer l’affaire, eh bien non, la ville court à l’hôpital pour s’en convaincre. Le corps inanimé de la femme git sur un matelas, recouvert d’un tissu blanc, les pieds joints. Le mari sans voix et la population sous le choc. C’est un acte criminel certes, mais provenant de la paroisse et il s’agit de rapports sexuels entre une fidèle et son prêtre. Les enfants de Monica ne savent pas si bien crier, mais leur maman a souhaité prendre du plaisir avec le prêtre dans l’espoir de se rendre au paradis. Elle est morte après avoir eu des rapports sexuels avec son officiant de prêtre.

La suite, jusque-là, on ne sait pas si le prêtre a été mis aux arrêts pour être condamné, mais, on dirait qu’il se passe des choses pas trop catholiques dans les paroisses entre les femmes mariées et les prêtres. Tous les jours pour le voleur et un jour pour le propriétaire, dit l’adage.

Pour éviter tous ces drames, pourquoi le pape n’autorise-t-il pas aux prêtres désireux de se marier de le faire que les obliger à commettre toujours l’adultère ? Ces prêtres souvent, ne sortent pas avec les filles célibataires, mais avec les femmes mariées, qui souvent font croire à la maison de rendre à la confession. C’est parce que Monica est décédée en pleins ébats sexuels sinon, les femmes mariées qui trompent leur mari avec leur prêtre, ça court les rues.

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