Malgré le partenariat stratégique signé entre la République Démocratique du Congo et les USA depuis l’arrivée de monsieur Félix Tshisekedi à la présidence de la République.., la situation sécuritaire du pays ne s’améliore pas et devient de plus en plus pire.
De quoi , poussé Kinshasa à remettre en cause.
la sincérité de l’une de grandes puissances du monde en partenariat avec la République Démocratique du Cong pour son décollage économique .
occulté par les multiples défis notamment ; l’insécurité qui sévit depuis plusieurs décennies dans l’Est de la RDC.
Malgré, ce tableau sombre à Washington, » aucune volonté manifeste pour aider la République Démocratique du Congo à se reconstruire » constate la diplomatie congolaise.
Les USA ne veulent que contrôler le gouvernail de minerais stratégiques en République Démocratique du Congo.
Lors de son passage à Kinshasa, le secrétaire d’État américain Anthony Blinken l’a confirmé en remettant en cause l’accord signé avec Dan Gertler sans son accord et cherchant à avoir toutes les informations sur l’exploitation des minerais stratégiques en RDC .
Washington a déjà établi une liste de plusieurs personnalités politiques congolaises à sanctionner, un moyen de pression sur Kinshasa de renoncer au deal conclu avec Gertler sans l’accord des USA et avoir le contrôle des blocs pétroliers lancés pour exploitation à Kinshasa par Félix Tshisekedi….
Les USA mettent également la pression sur le régime Tshisekedi à travers l’ONU pour les élections en 2023.
Deux semaines après son retour aux USA.
Dans deux rapports confidentiels à l’ONU, la Mission d’évaluation des besoins électoraux de l’ONU et le Programme des Nations unies pour le développement dressent un état des lieux pessimiste et s’essayent à la prospective en vue des élections prévues fin 2023 en RDC.
Selon les experts :
La Commission électorale nationale indépendante congolaise fait face à de sérieuses difficultés.
Alors que l’élection présidentielle congolaise est prévue dans moins d’un an et demi, le scénario redouté d’un glissement du calendrier électoral, déjà expérimenté entre 2016 à 2018, pourrait préfigurer une crise politique majeure et les guerres tribales vont de plus en plus refaire surface » prédisent les experts pour mettre pression sur Kinshasa….
Le comportement insinué du président congolais Félix Tshisekedi qui tente de s’approcher de la politique Russe irrite de plus en plus les USA » ( sources diplomatiques).
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