Nous entendons parler de Vladimir Poutine un peu partout en ce contexte de guerre en Ukraine. Si actuellement le chef d’État russe entretient une entente cordiale avec Emmanuel Macron, ça n’a pas toujours été le cas avec d’autres dirigeants. Vladimir Poutine n’était, par exemple, pas fan du tout de Nicolas Sarkozy. Il l’aurait même déjà menacé. Voici ce qu’il lui aurait dit.

Avant Emmanuel Macron, il y avait François Hollande. Mais encore avant Hollande, le président de la République était Nicolas Sarkozy. Tandis qu’il officie de 2007 à 2012 au poste, ce dernier a évidemment déjà eu l’occasion de rencontrer le président de la Russie. Très imposant, Vladimir Poutine s’est montré particulièrement froid avec Nicolas Sarkozy. Et cela pendant tout le mandat de l’ex-président de la République. En réalité, leur toute première rencontre a été très musclée, révèle letribunaldunet.fr

Vladimir Poutine

C’était au cours de l’été 2007, à l’occasion du G8. Vladimir Poutine était présent, à l’époque, en Allemagne. D’après les sources, les deux hommes politiques ne seraient pas partis du bon pied. En fait, Vladimir Poutine aurait trouvé le ton de Nicolas Sarkozy trop agressif. Voici ce qu’il aurait dit : « Alors maintenant de deux choses l’une : ou bien tu continues sur ce ton et je t’écrase, ou alors tu arrêtes de parler comme ça et tu verras, je peux faire de toi le roi de l’Europe » . Une véritable menace de la part de Vladimir Poutine qui a dû faire froid dans le dos à Nicolas Sarkozy.

En fait, il y a une raison à une telle haine de la part de Vladimir Poutine envers Nicolas Sarkozy. D’après Le Point, Vladimir Poutine était déçu de ne plus avoir Jacques Chirac comme interlocuteur français. Selon les sources, le président russe adorait le défunt président et lui vouait même une très grande admiration. Il faut dire que ce dernier n’avait pas la langue dans sa poche, comme son confrère russe.

On comprend donc mieux ce ressentiment. Autre point de discorde entre les deux hommes : Nicolas Sarkozy évoquait justement le fait de rejoindre l’OTAN à cette époque, une chose que n’avait pas appréciée le président russe. Comme maintenant du coup.

Par Gédéon Ngango


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