Construite en 1922, la prison centrale de Lisala se trouve dans état de délabrement très avancée, cela nécessite une réhabilitation totale. Ceci étant, comme nous l’avons décrié tout haut, les compatriotes qui s’y trouvent, vivent dans la promiscuité animale, entassés dans une cellule.

Cela peut se faire voir ou constater de la manière selon laquelle : ces prisonniers et détenus dorment à même le sol, sans nattes nu matelas moins encore les couvertures ; ne mangent presque pas et cela pour cause principale le gouvernement central qui n’envoie pas les fonds il y a de cela plus de cinq mois pour la prise en charge de ceux-ci. Autre aspect capital est celui de manque d’eau potable dans la prison ce qui est inadmissible et inconcevable en ce moment ultime ou le pays fait face à l’ennemi invisible qui est le COVID-19, les installation hygiéniques bouchées suite à la pénurie d’eau dans la prison, carence des matériels et médicaments pour la prise en charge normale des prisonniers et détenus malades.

La prison c’est un centre de rééducation mais pas un enfer, nos compatriotes ont perdu rien que leur droit de liberté et ils doivent jouir d’autres droit autre, que la liberté que la Constitution leur garantie. Car, Action des Jeunes pour le Bien-être Social observe avec prosternation que la prison centrale de Lisala ne constitue pas une préoccupation des gouvernants quelques soit un niveau national que provincial, c’est ainsi qu’ Action des Jeunes pour le Bien-être Social s’oblige à interpeller les autorités concernées apprendre chacune selon son degré d’intervention des dispositions idoines tendant à la prise en charge meilleure de la prison de Lisala dont le bâtiment est en ruine, car dit-on, c’est la justice qui élève une nation et la prison doit être considérée comme le corollaire d’une justice meilleure.


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