1. Au sommet, trône une minorité qui se sert de tous les moyens de l’Etat.

2. Au milieu, vogue une catégorie d’intermédiaires (ou d’entremetteurs) qui parlent français et naviguent entre l’Etat prédateur et le reste. Leur point commun est qu’ils s’accommodent du statu quo parce qu’ils se « retrouvent « .

Félix Tshisekedi

3. Au bas de la pyramide sociale grouille la masse des damnés de la terre (des personnes réprouvées, rejetées) qui n’ont rien à perdre que leurs chaînes. Voulant échapper à cette fournaise de misère, ils courent vers les sectes religieuses, les églises de réveil, les partis politiques, le bombé, le lotoko, etc…

Ils y noient leurs frustrations, paradoxalement bien entretenues par les promesses mirobolantes des politiciens et les boniments tranquillisants des prédicateurs qui ne parlent jamais d’injustice, ils dénoncent jamais les maux de la société causés par des politiciens .

Solution :

Il faut absolument changer la théâtralité politicienne, ce paradigme politique en mettant fin à cet état criminel des Belgicains et leurs bras-cassés. Il faut absolument revenir au contrat contrat social qui vise le bonheur de tous et de chacun à travers la promotion du bien commun et la garantie des libertés individuelles.

Et pourquoi ne pas assainir l’espace politique en y retirant de l’argent qui est un élément moteur qui attire beaucoup des médiocrités aujourd’hui. Que dire des acteurs politiques ? Il faut instaurer des conditions drastiques pour faire la politique en République démocratique du Congo, parmi ces conditions, la bonne moralité doit y être une condition sine qua non mais aussi prendre soin d’éloigner les églises de réveil et leurs pasteurs véreux de la politique.

Wab-infos