L’ancien président Barack Obama parle de la forme de communication préférée du président actuel. Lors de son intervention mercredi soir à San Francisco, Obama s’est adressé à la société d’analyse de données Splunk et a parlé de diversité, selon son discours. Il s’est adressé à l’entreprise d’analyse de données Splunk.
Alors que la diversité était un sujet important, il a également mentionné les médias sociaux et les dangers liés à la lecture de commentaires en ligne.
“Ce que vous devez faire est de créer un processus dans lequel vous êtes assuré que toutes les données disponibles ont été triées, triées et les problèmes essentiels qui vont être importants pour votre décision, vous pouvez les voir,” Obama a dit. «Et cela nécessite non seulement un bon processus, mais également une équipe d’opinions diverses. L’autre chose qui aide est de ne pas regarder la télévision. Ou, vous savez, lire, vous savez, les médias sociaux », a-t-il déclaré à une foule enthousiaste.
“Donc, ce sont deux choses que je conseillerais à votre président de ne pas faire, car cela crée beaucoup de bruit et brouille votre jugement.”
Il a ensuite ajouté:
«Vous pouvez vous assurer que les personnes qui vous fournissent ces informations reçoivent un message clair indiquant que vous souhaitez des informations et que vous souhaitez d’abord une mauvaise nouvelle. Et vous ne voulez pas tourner, vous ne voulez pas du sucre-peint, vous voulez une diversité d’opinions, et vous envoyez ce signal fort au départ. «
« Si vous êtes susceptible de vous inquiéter de ce que disent les sondages ou de ce que cette personne pourrait dire sur ce sujet ou si vous commencez à confondre l’intensité de la passion d’un très petit groupe de personnes avec un sens plus large de la façon dont le pays En fait, sachez que quelque chose sur le sujet que vous traitez pense, cela influera sur votre prise de décision d’une manière malsaine. «
Le point principal d’Obama était qu’il était important de ne pas faire de bruit. Bien sûr, nous ne devrions pas nous attendre à ce que le président actuel prenne tout ce que Obama a à dire à coeur. Mais bon, au moins il a essayé.
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