Une étude, publiée en août 2020, postule que ce comportement est d’origine génétique, c’est-à-dire évolutionnaire – et ne se retrouve ailleurs que dans une seule espèce d’oiseau. L’explication serait à chercher du côté du groupe social et du maintien de la coopération. Etrange.
La pratique se*xuelle chez les humains est aujourd’hui autant un héritage génétique de l’évolution qu’une création culturelle (que la mondialisation, à travers les médias, tend à homogénéiser). Quand il s’agit de notre espèce, ce n’est pas une mince affaire pour les évolutionnistes d’isoler l’aspect purement génétique de cet amalgame nature-culture.
Il faut construire un modèle cadrant strictement avec les lois darwiniennes qui veulent qu’un comportement d’origine génétique doit être général dans l’espèce et reposer exclusivement sur le principe de » l’avantage » en terme de production des individus et de pérennisation collective des espèces, du moins pour une espèce sociale comme la notre.
Par Gédéon Ngango
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