Dans un acte d’une barbarie sans nom, le Kremlin a franchi une nouvelle ligne rouge. La Russie, sous les ordres de Vladimir Poutine, a dĂ©libĂ©rĂ©ment visĂ© l’hĂ´pital pour enfants de Kiev, transformant un lieu de guĂ©rison en champ de ruines et de larmes.

Ce crime de guerre prĂ©mĂ©ditĂ© n’est pas qu’une simple attaque, c’est un message brutal envoyĂ© au monde entier. Anton Geraschenko, conseiller au ministère ukrainien de l’IntĂ©rieur, dĂ©crypte la psychĂ© tordue de Poutine :

« Le tsar de Moscou se croit invincible. Il nargue l’OTAN, convaincu que l’Alliance tremble devant sa puissance. Poutine proclame : ‘J’ai fait voler en Ă©clats l’ancien ordre mondial. Venez nĂ©gocier les termes du nouveau… Ă  mes conditions.' »

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Aux Ukrainiens, Poutine hurle : « Rendez-vous ou périssez ! Personne ne viendra vous sauver. Seules la souffrance et la mort vous attendent hors de mon empire. »

Mais le comble de l’obscĂ©nitĂ© ? Poutine bombarde des nouveau-nĂ©s alors mĂŞme qu’il prĂ©side le Conseil de sĂ©curitĂ© de l’ONU. Une gifle magistrale au visage de la communautĂ© internationale.

Cette attaque monstrueuse soulève une question glaçante : jusqu’oĂą Poutine est-il prĂŞt Ă  aller ? Le monde assistera-t-il, impuissant, Ă  l’escalade de cette folie meurtrière ?

Pendant ce temps, dans les dĂ©combres de l’hĂ´pital de Kiev, les pleurs des enfants blessĂ©s rĂ©sonnent comme un appel Ă  l’aide dĂ©sespĂ©rĂ©. Un appel que le monde ne peut plus ignorer.