Bien que dotée d’importantes ressources tant dans le sol que dans le sous-sol , la RDC se trouve mal en point en ce qui concerne son économie.

Dans le souci d’insuffler une nouvelle donne , le parti cher à Dieudonné Nkishi demande à l’État congolais d’arrêter l’importation des produits vivriers et mettre en relief la production essentiellement locale.

Cette politique orientée vers la production de ce que les congolais consomment est d’une utilité substantielle dans le vécu quotidien du peuple congolais; ceci permettra au pays de gagner entre autres , les emplois qui seront automatiquement créés, la monnaie ne sera plus convertie en devises étrangères pour importer, le pouvoir d’achat de la population sera renforcé car , les produits vivriers locaux ne coûteront pas ce que coûtent les produits importés, en consommant les produits contrôlés et moins avariés , la santé de la population sera épargnée , le pays renforcera ses réserves de change, il va en même temps reconquérir sa dignité , en dernier ressort , le peuple congolais sera en harmonie avec son créateur qui dans sa pensée et dans sa bonté , a accepté de lui donner une terre aussi bénie.

Le président national du parti anti-chomage , Dieudonné Nkishi croît à la possibilité d’un Congo émergent dont le déclin passe par les dirigeants “nationalistes” et “courageux.”

Peut-on s’accorder à dire qu’une nouvelle vision s’impose dans le secteur principal de l’économie nationale qui n’est autre que l’agriculture pour être puissant du point de vue économique étant donné que la RDC consomme plus ce qu’elle ne produit pas.

Le secteur agricole aujourd’hui de la RDC — totalement paralysé — connaît une asthénie de productivité conduisant 73 % de la population congolaise à vivre en insécurité alimentaire, les importations de denrées alimentaires (produits de première nécessité) augmentent et les exportations des produits de rente baissent. La production s’est en effet réduite depuis quelques années à des activités de subsistance malgré des conditions naturelles favorables (environ 97 % des terres arables bénéficient d’une saison culturale de plus de huit mois dans l’année. De plus, 34 % du territoire national sont de terres agricoles dont 10 % seulement sont mises en valeur.

Avec 24h.cd


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