La relaxe sur les agressions sexuelles est « prononcée au bénéfice du doute », a expliqué la présidente de la 7e chambre correctionnelle de la cour d’appel de Versailles, près de Paris, évoquant notamment des « déclarations évolutives, parfois contradictoires » des plaignantes. 

La star de la rumba congolaise Koffi Olomidé a été relaxé lundi en appel des chefs d’accusation d’agressions sexuelles sur quatre de ses ex-danseuses mais condamné à 18 mois d’emprisonnement avec sursis probatoire de trois ans pour les avoir séquestrées lors de ses tournées en France.

Koffi Olomide

En revanche, la séquestration « ne fait aucun doute », avec des plaignantes « privées de toute liberté et surveillées de manière constante » entre 2002 et 2006 dans un pavillon de banlieue parisienne.

Wab-infos.com

Avec AFP

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